• la bio, ce n'est pas ça qui va nourrir la planète ?

    Que dire à ceux qui affirment que "la bio, ce n'est pas ça qui va nourrir la planète" ? 
    Pour tenir lors des longues soirées d’hiver, lisez l’ouvrage de Marc Dufumier. Cet ingénieur agronome, spécialiste mondial des questions agricoles, y passe en revue les maux liés aux excès de l’agriculture industrielle. Non seulement chez les consommateurs (malnutrition, famines, pollution des eaux, obésité, etc.), mais aussi chez les agriculteurs eux-mêmes (santé, dépendance envers les industriels de la chimie et des semences, etc.).
    Et Marc Dufumier nous explique en quoi seule l’agriculture bio peut résoudre ces problèmes. C'est-à-dire une agriculture savante qui, en intégrant l’écologie dans ses pratiques, tient compte non seulement de nos besoins en termes de rendements - nourrir 9 milliards d’humains, ce n’est pas rien - et en termes de qualité – pour garder ces humains en bonne santé -, mais tient compte aussi de la protection de notre environnement.
    Pour que cette agriculture soit soutenable dans le temps et bénéfique pour tous : agriculteurs, consommateurs, abeilles et tous les autres êtres vivants.

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  • Commentaires

    1
    Vandome Bruno
    Jeudi 27 Septembre 2012 à 16:41

               En reponse à : Ce n'est pas la bio qui va nourrir la planete.


    Les premiers méfaits de l'agriculture  chimico-industrielle ont été mille fois constatés après les premiers épandages d'ammonitrates (ex- vieux stock d'intrans provenant de stocks non-utilisés à la fabrication de bombes pour la guerre de 1914-18).  Les animaux ne mentent et ne simulent pas la maladie. Ils étaient tous atteints de nouvelles formes de maladies. Il fallait donc trouver l'origine de leurs maladies. Même sans vétérinaires, ils ont très vite compris


    Les paysans ont tout de suite cherché à sauver leurs porte-feuilles en sauvegardant la santé de leurs animaux. Ce n'est certainement pas par amour humain envers leurs propres animaux. Jamais de sentiments inutiles en agro-industrie, seul le résultat pecunier final compte.


    Au faite, par hasard : ne serions-nous pas des animaux avec quelques bribes d'intelligence  et un ADN différent ?Pourquoi la plupart des oiseaux ont émigré vers les villes ?  pourquoi les abeilles y sont-elles plus heureuses ? 


             Le très gros problème à l'heure actuelle c'est que ces "carnassiers sur leurs deux pattes" utilisent indirectement quatorze fois plus de surface en passant par une voie non-directe. C'est là que commence le plus grand gaspillage de nos terres agricoles et lorsque ces terres seront utilisées correctement en utilisant directe-ment les denrées alimentaires sans passer par l'intermédiaire de l'animal, n'y aura-il pas  trop de surfaces pour nous nourrir ? 


                                       

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